Ce mystérieux virus...

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Ce mystérieux virus...

Messagepar Jean-Francois Richard » Jeu 05 08 21 10:12

Le coronavirus va-t-il pourrir indéfiniment la vie de l'humanité ? C'est envisagé par un certain nombre de médecins, mais cela nous semble assez peu probable.

C'est une confrontation entre Uranus et Neptune qui nous a apporté ce virus, aidée par l'approche toujours négative d'une conjonction Jupiter-Neptune. Dans la plupart des cas, comme lors de la grippe espagnole de 1918 à 1920, c'est Jupiter qui donne le timing avec Neptune, en général entre deux ans et un an avant une conjonction. Quant à la nocivité de ces différents virus, cela dépend essentiellement d'Uranus avec Neptune, comme pour les points de départs des principales épidémies de peste ou autres au travers des siècles.

Uranus et Neptune sont entrés en conflit de façon précise en 2017 au mois d'août pour la première fois. Il s'agit d'un angle astrologique négatif de 45° qui, entre planètes aussi lointaines, est d'une grande importance car il détermine des cycles de longue durée. Si entre la Lune et le Soleil, un tel angle n'a d'influence que quelques heures, on voit avec Uranus et Neptune que cela peut durer jusqu'à cinq ou six ans...

En 2017, point de virus à l'horizon. Et pas davantage en 2018 et sur une grande partie de 2019. D'ailleurs, le dernier demi-carré "exact" de 45° entre Uranus et Neptune a eu lieu en mai 2019. Pour être précis jusqu'au bout, précisons que la course naturelle d'Uranus et Neptune a fait que de novembre 2019 à mai 2020, ce demi-carré si nocif est resté quasiment stable à 46° d'orbe, soit un quasi carré exact de 45° pendant environ 6 mois d'affilée. C'est durant cette période que le virus s'est propagé comme une trainée de poudre.

Mais il faut aussi bien intégrer un autre facteur avec des planètes aussi lointaines qu'Uranus et Neptune. La plupart du temps, quand une configuration négative se produit, il ne se passe rien de façon immédiate. Il faut en quelque sorte attendre que la relation malheureuse entre les deux planètes s'installe pour que le climat finisse par s'en imprégner et que, au bout du compte, des événements concrets se produisent.

C'est ce qui s'est passé, le choc Uranus-Neptune ne finissant par apporter le virus (avec l'aide décisive de Jupiter, ne l'oublions pas non plus...) qu'à la fin d'une mauvaise relation débuté près de trois ans plus tôt.

Enfin, une fois que les événements malencontreux se sont produits, il ne faut pas en déduire trop vite que tout va se résoudre avec le délitement progressif de la mauvaise relation planétaire qui l'a fait apparaître. Cela prend toujours un certain temps et, bien souvent, un peu plus de temps que l'on aurait pu le penser initialement. Une fois le mal installé, il faut vraiment que la mauvaise relation planétaire se dissipe totalement pour que des solutions durables apparaissent et que le problème finisse par être résolu.

On peut aujourd'hui penser que nous sommes dans cette situation avec le coronavirus... En premier lieu, rappelons que des traitements efficaces, bien que non miraculeux pour autant, ont été mis de côté par les autorités politiques et sanitaires, la corruption ayant visiblement été un élément moteur des décisions de nombreux États. Ainsi, le traitement du Pr. Raoult a fait l'objet de critiques malhonnêtes et malveillantes et la France a même interdit qu'il soit utilisé alors que les médicaments utilisés (hydroxychloroquine et azitromycine) sont bien connus depuis des décennies qu'ils ont permis de soigner et guérir de nombreux malades.

C'est le même schéma qui s'est produit avec l'ivermectine, qui a pourtant soigné correctement des millions d'Indiens. Les chercheurs israéliens ont par ailleurs publié des études sur trois médicaments bien connus qui, d'après leurs résultats en laboratoire, auraient une efficacité proche de 100% pour traiter le Covid 19. Mais aucun pays occidental n'a étudié à ce jour les résultats si prometteurs de cette enquête qui ne demande plus qu'une expérimentation humaine pour être validée ou non. Une fois de plus, on ne peut que pointer du doigt l'immense corruption qui sévit dans le domaine médical et du médicament.

Toujours est-il que l'on a au moins développé des vaccins qui sont relativement efficaces. Cependant, on a des doutes avec le dernier variant Delta qui pourrait limiter leurs effets protecteurs. En tout cas, malgré les obstacles, la recherche médicale avance quand même, bien que l'on puisse se poser de nombreuses questions dérangeantes sur les conflits d'intérêts évidents qui concernent nombre de politiciens dans le domaine de la santé, voire au-delà.

A présent, on peut remarquer que le choc Uranus-Neptune est en train de se dissiper de plus en plus. Ce n'est pas encore tout à fait le cas en prenant le recul nécessaire, car on peut globalement estimer que cette confrontation planétaire va encore perdurer de façon un peu large jusqu'au printemps 2022.

Voici d'ailleurs un peu plus bas la carte du ciel au premier janvier 2022, qui montre que le conflit Uranus-Neptune se situe à environ 4°30' de l'aspect exact de 45°, soit à environ 49° 30' précisément. C'est déjà assez large, mais durant l'été 2021, l'orbe était à plus de 51°... Il y a donc un resserrement évident de nature annuelle de l'orbe jusqu'au printemps 2022 et cela peut donc encourager le virus à maintenir sa nocivité générale.

A partir du printemps 2022, nous allons entrer dans une nouvelle période. En premier lieu, Jupiter va former sa conjonction à Neptune en avril et ce sera donc un nouvel élan positif qui va se produire entre les deux planètes. Par ailleurs, on ne pourra plus parler d'un demi-carré négatif entre Uranus et Neptune quand l'orbe les séparant dépassera 50° de façon définitive.

Cette nouvelle situation donne ainsi l'espoir de voir le coronavirus disparaître. Soit de façon naturelle en se transformant par exemple en simple rhume, soit par l'effet conjugué des traitements et autres vaccins qui arriveront à établir une immunité collective qui rendra ce virus tout à fait marginal.

On ne peut toutefois exclure une hypothèse moins heureuse, celle où le virus ne disparaîtrait pas, même si Uranus et Neptune n'ont plus de querelle. Cela nous semble beaucoup moins probable, mais pas impossible pour autant. Uranus et Neptune auraient alors apporté le virus et celui-ci aurait pris racine. Lors des épidémies de peste, on voit bien les points de départ avec le mauvais trio Jupiter/Uranus-Neptune, mais les ravages se poursuivent ensuite parfois sur plusieurs décennies et souvent sur plusieurs siècles...

Les deux hypothèses existent par conséquent, l'astrologie n'étant pas capable de trancher catégoriquement entre elles. Le plus probable est néanmoins que, pour une raison ou pour une autre, ce virus finisse par disparaître totalement.

Concluons avec la carte du ciel au premier janvier 2022, qui montre un angle de 49° 30' entre Uranus et Neptune. C'est déjà un peu éloigné des 45° maléfiques, mais cela en demeure encore relativement proche quand il s'agit de planètes aussi lointaines. En tout cas, petit à petit, l'angle va s'élargir de plus en plus en approchant du printemps 2022 jusqu'à 58° durant l'été.

Carte du ciel au 1er janvier 2022 à 00h00





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