L'emploi américain s'améliore enfin, comme l'ont montré les derniers chiffres mensuels d'octobre. La tendance demeure cependant timide et les créations de postes assez graduelles et non dynamiques.C'est en tout cas assez typique des effets que l'on peut attendre de la relation favorable entre Uranus et Neptune dans la période actuelle. Essentiellement liée à l'intervention des Etats, et notamment aux dépenses en tous sens de l'administration d'Obama, il est normal que le secteur marchand finisse par bénéficier de quelques miettes.L'emploi devrait donc continuer à s'améliorer, mais on peut penser que le taux de chômage ne réussira pas à diminuer de façon spectaculaire.
Sur cette fin d'année 2010, nous assistons au resserrement maximal de la belle relation entre Uranus et Neptune, en l'occurrence leur demi-sextile de 30°. Lundi 8 novembre, Neptune va reprendre sa marche en avant après une longue période de rétrogradation. Cela devrait dynamiser l'impact de la planète… D'ailleurs, il n'est sans doute pas anodin de constater que les chiffres US de l'emploi s'améliorent enfin, alors que Neptune est à 3 jours seulement de retrouver sa marche normale.
Pour sa part, Uranus va retrouver de son côté son ascension droite au début du mois de décembre. Nous aurons ainsi ces deux ténors du ciel en parfaite harmonie constructive et, en même temps, avançant tous deux d'un pas décidé pour ne pas dire conquérant dans le ciel. L'économie américaine devrait en profiter, les marchés d'actions également. Même le dollar, peut-on penser…
La tendance haussière de long terme, née au printemps 2009 lorsque Uranus et Neptune ont noué leur relation positive, devrait ainsi se confirmer. Cela ne permet pas pour autant d'oublier tous les éléments négatifs qui existent, qu'il s'agisse de la nouvelle planche à billets de la Fed ou de la crise des déficits en Europe. Ces facteurs vont continuer à peser à tel ou tel moment, jusqu'à ce qu'ils provoquent une nouvelle crise mondiale. Mais chaque chose en son temps car, pour le moment, ils ne constituent qu'un frein ponctuel ou périodique à la hausse des marchés.
Le 5 novembre 2010
Jean-François Richard
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