Bonjour à tous.
Le rap, cette enième voix de l'Amérique qui nous rappelle combien l'Europe a du talent à suivre en hochant de la casquette et en montrant ses doigts américains, nous briefe sur l'islam par le truchement d'une trouvaille d'un de ses trouvères. Pour lui, les gonzes de Charlie-Abdul se sont fait buter à la sulfateuse parce qu'ils s'en sont pris à l'islam en représentant celui qui ne leur avait jamais été présenté, même en photo, alors qu'ils savaient très bien comment les gardes du corps de ce dernier réagiraient s'ils en venaient à faire, par le crayon, un signalement physique de leur idole.
Il aurait même prononcé à cet égard, le chanteur, un truc du genre inoubliable : "Quand on joue avec le feu, on se brûle". Sorte du sentence du chef, totalement incomprise toutefois en Afrique, où sans feu ni jeu, on est quand même brûlée pour peu qu'on rencontre du Boko, de l'islam, mais malheureusement pas de Booba pour l'explication de texte.
Le rap, c'est tout ce qui manque à l'Afrique finalement pour comprendre ses problèmes.
http://www.7sur7.be/7s7/fr/32563/Charli ... rule.dhtmlhttp://www.lemonde.fr/afrique/article/2 ... _3212.htmlJohnny John
La gravité est le bonheur des imbéciles et la nécessité des religions. (Montesquieu et autre)