Violences routinières: la France « Orange mécanique »
Ce film de 1971 mettait en scène les comportements d’extrême violence d’une bande de jeunes voyous, et aussi la violence exercée en retour sur eux par les institutions d’Etat.
« La France Orange mécanique » est un essai, écrit en 2013 par Laurent Obertone, qui démontre que la société française évolue inexorablement vers un climat de violence accrue.
Aujourd’hui en France, l’individualisme forcené, le refus de toute autorité, le communautarisme conquérant et la haine des racines historiques de notre pays, conduisent à une approche victimaire de la racaille et à une déconsidération parallèle des « français de souche ».
Il ne se passe pas un seul jour sans que plusieurs représentants de notre société collective (pompiers, policiers, chauffeurs de bus, maires et conseillers municipaux, médecins, infirmiers…) se fassent agresser par des délinquants.
Le plus souvent issus de l’immigration extra-européenne et parfois avec une violence qui frôle la barbarie.
Ces individus devraient être répertoriés dans un grand fichier R (comme racaille) à l'instar du fichier S (pour les terroristes) et punis en conséquence de la gravité de leurs exactions.
Pour revenir à « Orange mécanique », le « méchant » du film était sérieusement traité aux électrochocs dans un asile psychiatrique pour le remettre aux normes.
Par malheur, il n’en est rien chez nous où l’escouade judiciaire, formée à l’école gauchiste garde toujours un œil humide pour la plèbe d’origine immigrée et s'oppose au fichage ethnique des délinquants (en prison, ce fichier existe seulement pour les non Français et limité au nombre des détenus, sans aucun rapport avec celui des délits constatés).
Qui s'expliquent pour elle par un contexte familial difficile, tout en massacrant au moindre prétexte les français de base dans ses jugements moralisateurs.
Avec la bienveillance complice de nombreux intellectuels dominants dans les médias pour lesquels, Onfray et Zemmour et autres souverainistes sont les vrais fauteurs de troubles.
Il faut d’urgence que cela s’arrête : les vrais méchants ne sont jamais suffisamment punis, et c’est une honte !
Et leurs victimes totalement absentes de la réalité du fond (décès, graves séquelles à vie, affliction irréversible des parents, famille et proches)
Peut-être faudra-t-il voir agresser violemment ou tuer brutalement quelques juges, pour que cela finisse enfin par changer…
J'ai failli oublier les juges de paix que sont les membres de l'exécutif et autres préfets prompts à s'exprimer mais absents dans l'action par manque de courage et volonté régalienne.