Bonjour à tous.
Navré pour la presse, mais effectivement sur "Charlie Hebdo" tout n'est pas clair. Dans cette histoire, on n'a jamais évoqué le rôle des Aliens. Alors, bon... Tout le monde n'est pas sur la bonne piste, d'accord, mais quand, par exemple, s'évoque qu'Hollande, sans peur des balles perdues dans le brouillard, était sur place moins d’une heure après le début de l’attaque, à l'évidence ça sent le coup fourré; c'est exactement comme quand, sans peur de la pluie, sans parapluie, dépourvu de tout, il se mit, dans une autre circonstance, à parler devant son micro dégoulinant, on se doute bien que cette impavidité face à l'eau cachait quelque chose de terrible sur le climat des régions tropicales.
Relax, le canard nous présente aussi, en le déplorant, les jeunes comme beaucoup plus cons que les vieux. Là , évidemment, il faut mener l'étude, mais en attendant les conclusions définitives, pourquoi le déplorer ? C'est aller un peu vite en besogne, d'autant que ça n'aurait pas que des inconvénients, ça ouvrirait des perspectives. Les politiques aiment bien les perspectives.
http://www.liberation.fr/france/2018/01 ... do_1620600On a voulu nous faire passer Johnny Hallyday pour un con. Lui-même peu avant de disparaître disait à son propos "Je suis toujours aussi con", signe évident qu'il était dans le complot. Il y a eu beaucoup d'ouvrages publiés sur son compte, mais jamais un portant le titre "La réussite d'un con". Au vu des intelligences qui se sont penchés sur son cas, le con intéresse en France; au point qu'on peut dire que c'est l'intelligence au service du con. Dans cette histoire de cons, il devait bien y en avoir un qui l'était moins que les autres.
En tout cas, le con avait une cour. Son ami Gilles Lhote rapporte que celui-là avait une maxime : ‘‘tu dis oui, tu dis non, moins tu en dis, moins tu passes pour un con''. Peine perdue, Marguerite Duras dans "La Ferrari, le poireau et l'autobus", article profond sur les effervescences du jour à la campagne, s'étonne de ne pas voir ses questions toutes comprises par celui qu'elle aurait ainsi voulu chausser à la taille de son pied menu. Oubli fatal, l'homme avait des pompes sur mesures. Donc un con. Animal, mais con.
Le con fut adulé, aux dernières nouvelles, il l'est encore; donc l'intelligent en mal d'adoration sait ce qu'il lui reste à faire. "Bonne chance" chantait le premier dans des élans très sensibles. A coup sûr, en ouvrant ainsi aux normatifs la porte du devenir brillant, il laissait à d'autres la rancune qui fait, en de multiples bibliothèques, de savants rayonnages.
http://www.lefigaro.fr/culture/2017/12/ ... ancais.phpJohnny John
La gravité est le bonheur des imbéciles et la nécessité des religions. (Montesquieu et autre)