N'est-elle pas ignominieuse cette vindicte systématiques des peoples à l'encontre des minus habens du peuple d'en bas dès lors que ceux-ci osent exprimer une indignation et se révoltent?
Après Duhamel, puis Berry et maintenant PPDA, toutes ces élites bien pensantes, propres sur elles, détentrices de la morale publique, insensibles au déni de la vérité, s'élèvent avec force et l'appui de tous les médias contre les faits immondes faits qui les renvoient au droit de cuissage.
Ce sont les mêmes qui s'insurgent contre la commémoration du bicentenaire de la mort de Napoléon le 5 mai 1821 -à l'âge de 51 ans 8 mois et 21 jours - aux motifs d'avoir rétabli l'esclavage et "assassiné" des milliers de chevaux durant ses campagnes militaires.
Qui a inventé l'esclavage ?
https://www.lhistoire.fr/la-traite-oubl ... usulmans-0Combien de coursiers à quatre pattes ont été occis au cours des siècles?
Par contre silence total sur les apports de ce génie qui nous régissent encore.
https://www.histoiredumonde.net/Les-rea ... oleon.htmlSauf la Légion d'Honneur que ces jean-foutre se complaisent à obtenir et s'enorgueillir sans jamais avoir rien fait pour en être récompensés
A contrario pour, le sieur PPDA un devoir de mémoire s'impose tant il est misérable mais que les "élites de l'entre soi" taisent soigneusement :
Interview truquée de Fidel CastroPatrick Poivre d'Arvor est accusé de manquer à la déontologie en proposant une interview truquée de Fidel Castro le 16 décembre 1991 sur TF1.
Le bidonnage est révélé le mois suivant par Télérama puis le journaliste Pierre Carles dans un sujet du Magazine du Fô.
Les plans de coupe mettent en évidence que Patrick Poivre d'Arvor et Régis Faucon ont rejoué les questions de leurs confrères en studio, et les ont insérées après coup dans le film de la conférence de presse.
Interview truquée du pseudo garde du corps de Saddam Hussein
Dans un contexte de guerre contre l'Irak, il diffuse dans l'émission Le Droit de Savoir une interview du « capitaine Karim », présenté comme un garde du corps repenti de Saddam Hussein.
Devant les protestations de l’ambassade irakienne, PPDA prétend l'avoir rencontré à Bagdad et avoir été fouillé par lui.
Il est pourtant prouvé par la suite que le « capitaine Karim » n'avait jamais été garde du corps ni rencontré Hussein mais était attaché de presse à Paris.
PlagiatEn janvier 2011, Patrick Poivre d'Arvor est accusé dans l'Express, par le journaliste Jérôme, d'avoir plagié, pour son essai "Ernest Hemingway, la vie jusqu'à l'excès" (éditions Arthaud), l'ouvrage de Peter Griffin Along with youth : Hemingway, publié en 1985 aux États-Unis et publié en français en 1989 par Gallimard.
"Quelque 100 pages sur les 414 que compte le livre sont tirées de la biographie de Griffin".
PPDA juge ce soupçon de plagiat « très désobligeant »
Les éditions Arthaud reconnaissent pour leur part une « grosse erreur technique » : « Le texte imprimé, diffusé par erreur à la presse en décembre, était une version de travail provisoire. Elle ne correspond pas à la version définitive validée par l’auteur ».
Affaire Botton
En janvier 1996, il est condamné en appel dans le procès Michel Noir – Pierre Botton, pour recel d'abus de biens sociaux, à 15 mois de prison avec sursis et 200 000 francs d'amende.
Suite à cette condamnation, le présentateur est suspendu du JT de 20 heures par TF1 pendant 3 mois.
Dans le livre "Confessions", Serge Raffy relève qu'un an plus tard, « sans qu’on en trouve le moindre écho dans la presse, cette peine sera effacée de son casier judiciaire par une cour lyonnaise composée de trois magistrats »
" PPDA est un cas. Il a réchappé à toutes les tempêtes, à tous les coups du sort, même les plus tragiques. Il dure au sommet avec souplesse du roseau. L'homme plie mais ne rompt pas".
[b]Procès intenté par TF1
[/b]
En mai 2009, après une plainte de Nonce Paolini pour « diffamation », Patrick Poivre d'Arvor est condamné par le tribunal correctionnel de Paris à 500 euros d'amende avec sursis ainsi qu'à un euro de dommages et intérêts.
Parallèlement, le groupe TF1 porte plainte contre Patrick Poivre d'Arvor auprès du tribunal de grande instance de Nanterre en réclamant 400 000 euros pour « dénigrement ».
En novembre 2011, il est condamné par les prud'hommes à verser 400 000 euros de dommages et intérêts à TF1, pour non-respect de sa clause de confidentialité
Cette condamnation est confirmée en appel en octobre 201286.
La Cour de cassation87 la confirme définitivement en janvier 2014.
Procès pour violation de la vie privéeEn 2010, Agathe Borne, son ancienne compagne, l'attaque en justice pour violation de la vie privée dans Fragments d'une femme perdue, publié chez Grasset en 2009.
En septembre 2011, il est condamné à lui verser 33 000 euros et à publier, dans deux journaux, un communiqué résumant sa condamnation, à hauteur de quatre mille euros hors taxes par publication ; toute réimpression ou réédition du livre est par ailleurs interdite.
PPDA est donc un homme au dessus de tout soupçon.