alain a écrit:JF, je veux dire que toutes les planètes sont du même côté, par rapport a l'axe des noeuds.
Intuitivement, il y aurait là quelque chose d'unidimensionnel. Cela fait penser (peut-être à tort) qu'actuellement des spécialistes dominent l'opinion et le gouvernement : les infectiologues.
Les spécialistes peuvent être des gens cultivés (et généralement les médecins le sont), mais dans la pratique, ils ne voient que leur spécialité. Typiquement, un spécialiste cachera au patient les effets indésirables du traitement qu'il lui donne, car il craindra qu'il ne prenne pas bien ses cachets !
Les infectiologues, omniprésents à la télévision et les généralistes qui relaient leur discours, ont réussi à imposer au gouvernement et aussi aux esprits, quelque chose d'assez contre-nature : le confinement, la quasi-absence des rapports humains et des gestes spontanés qui vont avec. Les gens obéissent assez bien et c'est bizarre.
Il y a sans doute quelque chose d'assez traumatisant, si ça dure. Économiquement, ce discours entretient la panique (on n'avait pas besoin de ça), des gens ne veulent plus aller au travail, sans compter qu'on a fermé bien des magasins, en promettant à ceux qui les tiennent de les financer... en accroissant la dette. De proche en proche, il y a un krach de l'économie, un effondrement. La finance, l'ennemie de François, acceptait sans se formaliser de financer ses déficits, parce qu'il y avait une économie derrière. Mais s'il n'y a plus d'économie ?
Tout cela nous ruine et aussi nous gonfle à force d'enfermement. Les spécialistes, eux, avec la gravité qui les accompagne, ne voient rien ou ne veulent rien voir de tout cela. Leur jour de gloire est arrivé et ils pérorent devant les micros. Le soir du 31 mars, la Lune, au moins elle, passera de l'autre côté de l'axe des nœuds. Les gens attendront-ils jusque là ? Possible. Je verrais comme une atmosphère de révolte, puis avec la conjonction Jupiter-Pluton du 5 avril, une vraie explosion de vitalité, qui permettra un redressement (au prix de la mort de nombreux retraités, ne l'oublions pas). J'espère néanmoins qu'on ne poursuivra pas les infectiologues dans la rue et dans les hôpitaux, car leur sécurité ne serait pas assurée. Merci et bravo Alain.