Bonsoir stephane, content de te revoir, tu nous manquais... Si, si... lol:
Juste une remarque : la conjonction jupiter-neptune n'est sûrement pas à négliger, mais il y a aussi et surtout, me semble-t-il, le demi-sextile uranus-neptune... Très difficile à manier sur le court terme, cette configuration-là !
Personnellement, je ne regarde pas trop la conjonction jupiter-neptune, à mon avis dépassée (même si elle a servi de booster initial pour la reprise avant la mi-juillet).
La dialectique actuelle, c'est entre la fin de l'influence "dominante" du demi-sextile uranus-neptune et le début de l'influence à nouveau dominante de l'opposition saturne-uranus.
Comme d'habitude dans une situation de ce genre, où il faut apprécier sur le court terme le poids respectif de deux configurations "majeures", c'est un vrai casse-tête. On peut avancer telle ou telle hypothèse (et personne ne s'en prive, ce qui est très instructif), mais elles sont très aléatoires. On peut tomber pile, sans doute par chance: ou se tromper, dans ce cas par malchance.
On a certes des repères... Si on en fait la synthèse, un certain "consensus" paraît tabler sur les environs de la mi-août. Le repère est certain, je ne le conteste pas le moins du monde et l'ai aussi en tête. Mais il est également tout à fait possible que la tendance s'inverse à un moment tout à fait imprévu, plus tôt ou plus tard...
On peut remarquer très près la pleine lune du 6 août ou plus loin une figure géométrique très négative (a priori...) entre Uranus/pluton d'une part et mars/saturne d'autre part vers les 21/24 août (rien que pour embêter les paresseux qui ne veulent pas calculer les figures géométriques, sauf ramon bien sûr qui les affectionne). Mais cela peut se produire encore plus tard, peut-être...
On est en fait dans le brouillard sur le court terme. C'est l'un des inconvénients de l'astrologie dans une situation de ce genre. En revanche, à la première alerte sérieuse, on saura évidemment sur quoi les marchés auront réagi et si l'opposition saturne-uranus est concernée. Ce sera l'avantage de l'astrologie de savoir comprendre que la redoutable opposition Saturne-Uranus est de retour pour une nouvelle grande vague de baisse...
On peut se demander aussi (certains lecteurs de ce forum m'ont posé la question personnellement) si, en étant déjà très prudents (voir posts d'henri notamment), on ne risque pas de "rater" 10 ou 20% de hausse supplémentaires. Oui, peut-être...
L'astrologie n'est pas une science exacte, nous en sommes ici tous très conscients. Mais je pense qu'il faut prendre le problème autrement car, si l'on regarde l'historique d'un graphique boursier et que l'on refaisait l'histoire, nous arriverions évidemment à des performances d'au moins 100% par an et sans effet de levier. Chimères bien entendu... En revanche, prendre en compte les grands paramètres fournis par l'astrologie moderne ou l'astrologie scientifique (pour reprendre l'expression de Kepler qui était persuadé qu'elle existait mais alors qu'il ne connaissait pas au 18ème siècle uranus, neptune et pluton) implique de ne pas chercher les extrêmes. L'astrologie apporte beaucoup, elle a aussi ses limites. Après un brutal rebond d'environ +40%, le contrat de l'astrologie est à mon sens rempli pour l'avoir correctement prévu. Il n'y a pas de honte, à mon avis, à se dire maintenant que la poursuite de la hausse devient beaucoup plus aléatoire. Tout simplement, parce que les repères deviennent contestables dans la mesure où les facteurs positifs peuvent commencer rapidement à être contrecarrés par l'opposition saturne-uranus qui monte "chaque jour" en puissance. Lentement, c'est sûr... Mais quand elle se déclenchera à nouveau, cela ira sans doute très vite. Comme il y a un an.
Bon we.