par Johnny John » Jeu 23 12 10 12:40
Bonjour Ramon.
Ca se laisse lire tout seul signifie tout simplement que les aspects seuls expliquent largement ce qui s'est passé en ces deux périodes sans que les noeuds lunaires apportent grand chose, sauf si, peut-être, on sollicite les grands cycles; mais bien sûr dans ce dernier cas, il faudrait apporter de la matière d'analyse.
Contrairement à l'économie, la Bourse impose la précision pour deux raisons: raison de prix d'intervention, raison d'appréhension risquant de transformer la force d'une bonne analyse en une faiblesse de la main qui lâche.
De faibles mouvements d'indice peuvent en effet durer des semaines voire des mois, avant de déboucher sur la confirmation de la qualité de son point de vue, lorsque celui-ci est bon naturellement.
Celui qui agit sur les marchés ne peut pas se satisfaire uniquement de la notion de grands cycles, ce serait trop facile.
Je n'aborderais que les cycles longs perceptibles en ce 26 mars 1987. Pour ceux qui aiment bien fulminer, je commencerais par: opposition quasi parfaite Mars/Quaoar; puis imminence de la rétrogradation de Saturne. Neptune est bien sollicité aussi, Soleil/Jupiter n'en parlons même pas, etc.
Etc. signifie peut-être, entre autre: opposition Pluton/Sedna activé par la conjonction Vesta/Sedna. Bon, mais c'est juste comme ça pour la distraction bien sûr.
On peut observer que le sextile Neptune/Pluton a fait par la suite un beau flop, ce qui doit interroger sur les alliances particulières de Pluton.
Et puis comme il ne saurait y avoir d'analyses astrologiques dignes de ce nom que dynamiques, on va tranquillement se reporter au 29 janvier 1988, point bas de la période de baisse de ce marché un peu chahuté de 1987.
Je laisse à chacun découvrir le ciel du jour, et les amateurs de grands cycles, compris ou non, pourront voir un quinconce parfait Jupiter/Quaoar, et tant d'aspect sur Sedna, qu'il serait injurieux de les préciser. Quant à Neptune on le voit se faire bronzer d'un joli rayon de Soleil et Saturne/Uranus s'amouracher l'un de l'autre démesurément.
Je n'y suis pour rien, c'est le ciel.
Johnny John
La gravité est le bonheur des imbéciles et la nécessité des religions. (Montesquieu et autre)