Bonjour à tous et bonne année à chacun.
Nous voilà rassuré, grâce à Libé, nous apprenons que le cinéma est moins ruineux qu'on aurait pu le craindre de prime abord, même si c'est un milieu où le copinage apparaît, au vu des affiches, la plus sûre garantie d'emploi.
Libé fait une distinction subtile entre taxes et impôts, et ce journal a raison, ça ne sort pas de la même poche; dans la taxe, le contribuable est moins touché, surtout celui, qui comme la majorité des Français, ne paye aucun impôt direct.
C'est en lisant le journal qu'on devient intelligent, tout comme c'est en allant au cinéma qu'on fait le bonheur des rentiers.
Certains chineurs, amateurs d'antiquités, font la poussière des brics afin de se procurer un max de bustes d'une célébrité lotoise du nom de Poujade, c'est de leur époque, ils en raffolent, dès qu'ils en trouvent un ils se le colle dans la tête pour ne pas perdre le fil qui les relie au passé, là où se trouvent toute leur jeunesse, leurs références, leur identité, leur culture, leur orient. Poujade, y'a qu'eux pour le connaître, ce gonze. Enfin, il paraît qu'il leur évite de compter les deniers des autres, c'est déjà ça.
http://next.liberation.fr/cinema/2012/1 ... ses_870873
Johnny John
La gravité est le bonheur des imbéciles et la nécessité des religions. (Montesquieu et autre)