par Johnny John » Sam 07 11 15 14:51
Bonjour à tous.
Voyons voir si j'ai bien compris moi-aussi. Je prends ma calculette : 3 x 36 = 108. Là on est bon, d'autant que le décile désigne le 10ème du tour zodiacal exprimé en degré (360 : 10 = 36).
Pour le 60° par contre, toute expression relative au décile apparaît impropre, puisque nous n'avons pas l'élément de base qui la fonde, à savoir la division par 10 des 360° zodiacaux.
Le 60 doit donc pouvoir être considéré comme un semi-trigone, ou un semi-trinonile, puisque le trigone peut se définir, entre autre manière, comme un trinonile (3 x 40 = 120).
Mais le plus important, du point de vue du message porté par les aspects, c'est bien sûr l'observation. Le mouvement des rapides ne permet pas toujours d'appréhender la réalité de l'intérêt de cet aspect, qui en vaut bien d'autres.
On va prendre un classique par exemple. Le marché américain démarra une hausse des plus importantes de juillet 1921 à septembre 1929. Cela fait donc huit ans sous la toise d'un truc bien costaud, d'où il serait hasardeux d'évacuer Neptune.
Le marché haussier débuta, entre autre, sur un nonile exact Saturne/Neptune, mais aussi un décile appliquant Neptune/Pluton à 2° d'orbe. Il s'acheva sur un nonile séparant Neptune/Pluton à 2° d'orbe. Neptune, en phase d'accélération, commença alors à entrer dans la zone de son 45 au même Pluton, avec tout ce que l'on connaît de conséquences.
Ainsi, du simple point de vue de ces deux lourdes, le marché haussier à franchi, sans remise en cause fondamentale, le décile Neptune/Pluton, mais aussi le nonile des deux mêmes et ne s'est effrayé qu'à l'approche de leur semi-carré, ou octile, comme on voudra.
Si l'on veut s'intéresser aux aspects resserrés, entre lourdes bien sûr, on voit de la même manière que le dernier marché haussier, ayant débuté en mars 2009 à franchi sans remise en cause fondamentale, là non plus, le dodectile (360/12), Uranus/Neptune, mais aussi le décile des deux mêmes et leur nonile toujours en cours.
Aspects de petites tailles, certes, mais avec des effets maximaux... qui ne doivent pas faire oublier le reste du ciel, comme nous le savons bien.
Johnny John
La gravité est le bonheur des imbéciles et la nécessité des religions. (Montesquieu et autre)