Bonjour Ă tous.
GĂ©nĂ©ralement les politiques n'ont besoin que d'eux-mĂȘmes pour s'affaiblir, si Ă l'un il faut en plus un virus, c'est qu'il est plus coriace que les autres.
Nono, lui, n'a pas besoin de virus, il lui a suffit de prendre un peu le train et de se rendre en province pour constater son éloignement du réel. Le réel, cette gauche sans peuple, comme un slip vide séchant sur un fil au milieu des prés, sans autre fonction qu'indiquer l'orientation du vent.
Vent de retour, il a rappliqué fissa le Nono, personne à la campagne pour l'acclamer, aussi demi-tour vers la capitale, vite à la cloche, le tocsin maintenant il sonne. Ca fait un beau bruit, le bruit d'une cloche, c'est beau. La trompette non, la cloche oui.
Il faut rassembler la gauche, c'est son nouveau credo, sa redingote, son costume du dimanche, sa veste nouvelle, celle d'hier, d'aujourd'hui et de demain, sa veste Ă©lectorale. C'est un champion, faut le dire c'est un champion ! Et tout dans la gĂ©nĂ©rositĂ©, il offre sa candidature; personne pour la ramasser, qu'importe il ne la ramĂšnera de toute façon pas chez lui, il va la coller de force dans la poche de quelqu'un, quelqu'un de gauche, Ă deux doigts de la droite, un peu sur la gauche, ou l'inverse, mais Ă gauche, il n'y a que lĂ qu'il est capable de trouver un repreneur, quelqu'un de modeste qui accepte facilement les oboles gonflĂ©es Ă l'hĂ©lium, pas plus lourdes qu'un ballon d'enfant, et jolies quand mĂȘme dans le dĂ©cor, avec dans le fond, la sono, le bruit de la cloche, ding-dingue-dong ! Sonnez les matines ! d'autant que c'est un crĂ©puscule. Ding-dingue-dong !
Si les électeurs sont pas contents avec ça... Jésus, notre sauveur est né, cloches cloches carillonnez !
https://www.francetvinfo.fr/politique/a ... 76411.htmlJohnny John
La gravité est le bonheur des imbéciles et la nécessité des religions. (Montesquieu et autre)