Juste une question : si la hausse devait l'emporter fin décembre, que fait-on du carré saturne-pluton omniprésent de novembre à février et activé par différentes rapides fin décembre (et par mars jusqu'en janvier au degré près) ? D'autre part, sachant que les rétrogradations de mars sont généralement négatives, surtout au début d'une rétrogradation, comment envisager une reprise haussière sur un mars qui amorce sa rétrogradation le 21 décembre ? Enfin, comment appréhende-t-on l'effet de l'opposition saturne-uranus qui demeure potentiellement active tandis que le demi-sextile uranus-neptune est "en sommeil" jusqu'en avril ?
Autrement dit, serait-il absurde d'envisager l'inverse, à savoir un sommet de rebond sur la conjonction jupiter-neptune du 21 décembre, le jour également où mars amorce sa rétrogradation ? Cela impliquerait d'avoir avec jupiter-neptune une "conjonction baissière", phénomène le moins fréquent mais néanmoins assez courant...
