LE CHANGEMENT C’EST MAINTENANT
Si la solidarité est une force, elle a aussi un coût et jusqu’à présent
c’est nous qui avons payé et qui seront obligé de le faire de plus en plus.*
Or, cela va à l’encontre de notre pouvoir d’achat et de notre croissance !
- Ce sont nos députés et nos sénateurs qui ont voté des lois permettant l'immigration familiale et sa prise en charge, à une époque ou nous avions besoin de main d’œuvre non qualifiée, en échange de l'exploitation des ressources des « pays en voie de développement. »
60ans plus tard, le contexte étant différent, il est impératif de faire le point pour évaluer les conséquences de cette prise en charge et revoir les contrats passés à l’époque, par certaines de nos entreprises, vérifier leur validité, y apporter des avenants, corriger les inégalités, ...
- Attendu le contexte financier, est-il normal de continuer à faire payer aux salariés français les dettes du à l’immigration, via la CSG ? D’autant que, pour les plus petits salaires le taux de CSG est 3 fois plus élevé que celui payé par les salaires plus élevés, qui payent des impôts. Ce qui entraine une baisse du pouvoir d’achat, une perte de compétitivité pour nos entreprises et de croissance.
Ce que ne vous ont jamais signalé les responsables de Gauche, que ce soient les journalistes ou les hommes politiques, qui n’ont jamais proposé d’amendements, pour arrêter cette injustice sociale !!!
Mais si cela perdure c’est que certains y trouvent leur compte.
- Si nous organisions un Référendum sur la question, il serait étonnant que les ouvriers, ainsi que tous ceux et celles qui ont de petits salaires, acceptent de continuer à payer la CSG, pour rembourser les dettes du à l’immigration*, ni pour encourager celle-ci à se développer.
D’autant que le scandale de Liess Hadjedj qui touchait légalement plus de 92 000 € / an de prestations sociales, pour avoir distribué ses spermatozoïdes, à 12 reprises différentes, sur ses 3 femmes officielles dans son pays d’origine, + son épouse française, a permis de constater qu’il y avait des anomalies dans l’attribution de ces prestations !!! Et, cela concernerait 30 000 familles, alors qu’en Algérie, plus aucune prestation n’est versée au-delà du 3ième enfant.
-200 000 ressortissants / an*, tel qu’indiqué par les 2 candidats, est un chiffre inexact, car il ne concerne que les hommes, qui seront suivis par leurs femmes, chacune bénéficiaire d’un appartement HLM, (d’où pénurie de logements et augmentations des prix des loyers), ainsi que de leurs enfants, tous bénéficiaires de notre sécurité sociale, des allocations familiales, du RSA, …sans y avoir jamais cotisé, ce qui augmente le trou de la sécu, des Assedic et caisses de retraites, … que nous, nous français, nous remboursons par des impôts et taxes diverses, à notre détriment, ainsi qu’à celui de nos enfants. ( Baisse des remboursements, augmentation des mutuelles,…)
D’autant que, même lorsqu’ils travaillent, les immigrés ont des salaires dont les prélèvements sont nettement inférieurs aux avantages sociaux dont ils bénéficient, d’où la faillite de notre système social par répartition.
C’est pourquoi, il est urgent de revoir notre politique d’immigration, ainsi que l’attribution des prestations sociales, en accord avec les conventions internationales.
- Il serait temps de supprimer toute ségrégation positive à l’égard des immigrés et d’exiger le remboursement de toutes les prestations sociales, pour lesquelles ils n’ont jamais cotisé, via des contrats sur l’honneur, remboursables par toute la famille.
- Il serait temps aussi de faire respecter nos lois en matière de responsabilité familiale. C’est le mari, ou le géniteur des enfants, qui doit assumer l’entretien de sa famille et de ses enfants, payer une pension à son ex-femme s’il la répudie, de même pour chacun des enfants qu’il a conçu, que ce soit avec sa femme ou ses concubines…Et non à la communauté de le faire en leur lieu et place !
- Il serait temps, maintenant que « la croissance » est à l’ordre du jour, que nos responsables politiques se posent les bonnes questions sur la rentabilité de nos investissements, la responsabilité civile de la dette, et les inconvénients de notre ¨ solidarité ¨ à sens unique.
Il en va de la compétitivité de nos entreprises, de la croissance et de la protection de notre pouvoir d’achat
* Mr. Gourévitch, du « Cri du contribuable » le chiffre à 40 milliards d’€ / an
Voir aussi : http://www.polemia.com/pdf_v2/Cout%20mmigrJYLG.K.pdf
* 200 000 immigrés de + /an = une très grande ville de France, telles que Lille, Bordeaux, Montpelier, Rennes