Bonjour,
Depuis le 6 août, nous avons un trigone Saturne-Pluton. Il est évolutif et reviendra de façon très puissante au printemps 2008.
Saturne et Pluton, au positif et à ce que j'ai pu en observer, cela favorise la rentabilité des entreprises. De façon idéale, cela donne des entreprises saines et profitables dans le cadre d'une politique d'expansion controlée.
Nous avions jusqu'ici une opposition Saturne-Neptune, dont on peut observer que sa caractéristique, aussi bien dans le passé qu'aujourd'hui, est de pesr sur la consommation des ménages. Actuellement, c'est évidemment la crise de l'immobilier que l'on peut mettre à son actif, avec les répercussions sur les banques et le système de crédit.
Ces deux configurations (trigone Saturne-Pluton et opposition Saturne-Neptune) seront présentes pendant plus d'un an. Elles vont donc s'opposer, même si leurs effets ne concernent pas exactement les mêmes domaines.
Au plan économique général, on peut simplement se dire que ces configurations vont "avoir tendance" à s'annuler mutuellement dans leurs effets soit négatifs soit positifs. Bien entendu, dans ce cadre, il ne faut pas analyser la situation au jour le jour mais sur une période d'environ un an.
On peut par ailleurs se dire que le trigone Saturne-Pluton tombe à pic, car il devrait en théorie permettre d'éviter une grave crise qu'aurait pu provoquer isolément l'opposition Saturne-Neptune. Ce qui ne veut pour autant pas dire que ses effets fassent désormais partie du passé... Non, il y aura certainement de nouveaux prolongements.
Autre bonne nouvelle, l'hiver prochain verra un long sextile Jupiter-Uranus, très favorable pour les perspectives de la croissance mondiale.
Lors de l'opposition Saturne-Neptune précédente (1971-1973), l'économie mondiale avait amorcé la détestable période de la stagflation, renforcée à partir de 1974-1975 par un demi-carré Uranus-Neptune. Dans la situation présente, on ne devrait normalement pas aboutir à une période aussi négative pour l'économie mondiale. La croissance devrait ralentir, comme c'est déjà le cas aux Etats-Unis, mais modérément.
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