Bonjour Ă tous.
Contrairement Ă ce que nous dit Revol l'abaya n'est pas un vĂȘtement c'est une tenue, ce n'est qu'accessoirement un bout de chiffon; c'est un point de vue moral, la femme se doit aux formes de la honte dĂ©crĂ©tĂ©e par une ontologie masculine incapable de voir les rapports humains qu'entre dominants, les mĂąles, et les dominĂ©es, les femelles.
Les femelles qui s'y soumettent appellent cette soumission, la pudeur, autrement dit la honte d'elles-mĂȘmes, Ă laquelle leur coupable lĂ©gĂšretĂ© n'exige rien de semblable pour les mĂąles qui en font l'apologie Ă laquelle elles succombent avec la fiertĂ© des acolytes de ce sexisme radical qui permet aujourd'hui Ă la gauche de proposer enfin une perspective d'avenir pour elle oĂč la faucille et le marteau sont dĂ©sormais virĂ©s au profit du hijab et de l'abaya. L'apologie du sexisme, ce racisme de genre, doit-il avoir sa place Ă l'Ă©cole ? Y-a-t-il ici une autre question ? la religion n'est qu'un voile lĂ -dessus.
Le sens de l'avenir dans le passé le plus ringard, c'est aujourd'hui dans ce flacon d'ultra droite que la gauche qui a faim, ça fait du monde, va à l'essentiel, au lait nourricier des postes à pourvoir.
Quant à la population musulmane qu'il ne connaßt pas, Revol n'est en rien mandaté par elle, pour parler en son nom.
https://france3-regions.francetvinfo.fr ... 31198.htmlLe rĂ©fĂ©rendum, la France ne sait pas ce que c'est, aussi parlons de prĂ©fĂ©rendum, ça fait Style. On pourrait y aborder des questions multiples sur un mĂȘme sujet, nous dit-on. Les Suisses font ça depuis si longtemps, qu'on a l'impression, en dĂ©couvrant cette "nouveautĂ© franchouillette" d'ĂȘtre les simplets du Continent.
Mulier, le constitutionnaliste, nous informe sur le plus du truc, ça permettrait de dĂ©passer les errements de l'Ă©lection et du rĂ©fĂ©rendum, dit-il. Quels errements ? la suite c'est pour demain. Merci Thibaud, t'as bien fait de venir, on en apprend avec toi. Il n'y a pas d'errements du rĂ©fĂ©rendum, il n'y a tout simplement pas de rĂ©fĂ©rendum. Thibaud ne s'est pas rendu compte qu'on est en France, pas en Suisse. Faut dire, Ă sa dĂ©charge, qu'il n'est que constitutionnaliste. Il peut pas ĂȘtre partout Ă la fois.
Reste bien sĂ»r, l'Ă©lection, lĂ Ă©videmment les errements, les franches divagations ça ne manque pas, il n'est pas besoin d'ĂȘtre passĂ© par l'Ecole Alsacienne pour comprendre que les Français sont pris pour des quiches lorraines. C'est bon la quiche lorraine, on en mange d'ailleurs Ă l'Ecole Alsacienne.
L'élection n'a qu'une fonction en France, la carriÚre du politique, puisque la représentation nationale n'a jamais existée dans notre pays. On en entend parler bien sûr, mais on ne la voit pas et pour cause, il n'y a pas de représentation sans représenté, or le représenté est par l'élection plongé aussitÎt dans un coma profond qui rend toute représentation physiquement impossible.
Dans quel contrat a-t-on jamais vu qu'un représenté n'ait aucun pouvoir sur le déroulement de ce que l'on fait pour lui au nom de cette représentation. Au nom de cette représentation, il est tout simplement mort. Il l'est tout autant, par définition, que la représentation qui prétend le représenter.
Pour ĂȘtre reprĂ©sentĂ©, il faut qu'il soit vivant le reprĂ©sentĂ©, et la seule chose capable de l'amener Ă la vie c'est le RIC. Pas de RIC, pas de reprĂ©sentĂ©, pas de reprentĂ©, pas de reprĂ©sentation, pas de reprĂ©sentation, pas de dĂ©mocratie, pas de rĂ©publique, du thĂ©Ăątre, et du mauvais bien sĂ»r, de la cantine pour politiques rien d'autre, de la clape dans du dĂ©cor de pĂ©plum.
https://www.francetvinfo.fr/politique/e ... 31877.htmlJohnny John
La gravité est le bonheur des imbéciles et la nécessité des religions. (Montesquieu et autre)