La grande crise de la dette (2010-2020)

[schmuck]

Le probleme est tout sauf un probleme grec.
La question qu il faut se poser est pourquoi toutes les attaques se concentrent elles sur ce pays.
Quelle est la raison de cette hallali mediatique sur ce pays.
Les grecs ont toujours ete mauvais gestionnaire et cela n est pas nouveau
et n a jamais pose de probleme.
Si la grece etait un reel probleme l euro serait deja a des plus bas historiques hors il est toujours surevalue.
La raison,la guerre des monnaies.
Les USA,la chine etc maintiennent artificiellement un cours eleve de l euro
pour etrangler la zone et developper un peu plus la discorde,pour in fine la demanteler et se la partager.
La guerre entre les nations a toujours exister et les memes causes engendrent les memes effets.
La bresil qui contrairement a la chine a joue le jeu des regimes de changes flottant a officiellment denonce cette guerre des monnaies depuis un an.

D autre part la grece n est nullement en cause,c est la titrisation et le defaut de reglementation qui menace le systeme.
Les allemands sont egalement des pousse au crime,leur economie etant base sur l exportation.Plus le credit etait disponible facilement plus ils developpaient leur economiem,affaiblissait celles des pays voisins et accroissaient leur deficites.
C est le meme principe que pour les subprimes;des pays qui n en avaient les moyens ont pu emprunter des sommes qu ils ne pourraient pas rembourser a des taux qui n aurait pas du leur etre propose.

La grece est aujourd hui dans l impasse par un defaut de reglementation
mais bien sur personne ne veut en entendre parler car cela remet en cause le dogme neoliberal dont les acteurs au pouvoir sont les symboles.
ET meme si les signes d implosion continuent a abonder(encore 2 M chez JPM)pourquoi les gens au pouvoir denonceraient ils un systeme qui represente leur legtimite.

Comme dans toute crise majeur,le probleme est systemique et non
conjoncturel.
La democratie fonctionne tant que les interets des plus aises n entre pas
en contradiction avec les interets nationaux.
Quand l equilibre des pouvoirs n est plus respecte,les plus aises detiennent des interets dont la valeur n est plus concomitante a la democratie.

[Jean-Francois Richard]

Non, Schmuck... Ce n'est pas un problème de spéculation. La Grèce vit au-dessus de ses moyens depuis 35 ans, c'est cela qu'elle paye aujourd'hui !

[schmuck]

Les operateurs ont le droit de speculer et les grecs de s endetter,
cela a toujours ete et cela toujours sera,
Si la regulation permet a un pays de s endetter a 5 au lieu de 8
et si la regulation permet d emettre des cds superieurs au montant de la dette grecque et si la regulation evite aux operateurs qui ont specule de perdre leur chemise,la grece n est que l arbre qui cache la foret.

[Jean-Francois Richard]

Aucune régulation ne saurait exister contre le clientélisme politique, ce sont les politiciens qui font les lois...

[Johnny John]

Bonjour à tous.

Les idées font leur chemin, mais le temps que ça monte à la tête et que ça fasse trois fois le tour de Bruxelles, ça demande un certain temps, bien sûr.

http://lexpansion.lexpress.fr/economie/ ... 94843.html

Johnny John

[Jean-Francois Richard]

Tu as résumé la mentalité du bureaucrate...

[Johnny John]

Bonjour à tous.

La pensée unique, c'est comme le dieu unique, ça tend à s'imposer à tous quelqu'en soit la débilité.

De nos jours, c'est le maintien à tout prix, et quel prix, de la Grèce dans la zone monétaire européenne, qui en constitue le costard. C'est une fripe un peu mitée, mais on y tient, car l'absence de raisonnement économique qui en a tissé la toile semble suffisamment solide pour aller à la parade des certitudes à étendards.

Les craintes d'une éventuelle sortie en chaîne de l'Espagne et de l'Italie, alors que ces deux pays ne souffrent pas d'insolvabilité radicale comme c'est le cas de la Grèce, ne reposent actuellement sur rien d'autre qu'un néant de la raison. Mais ça suffit à faire des discours, c'est même une belle matière pour ça.

http://www.20minutes.fr/economie/938199 ... ortie-euro

Johnny John

[Johnny John]

Bonjour à tous.

Il est pas gentil Schaüble, il veut pas doubler les charges financières de l'Allemagne pour faire plaisir à Moscovici, qui refuse d'en faire autant avec la France. Et pourtant Moscovici veut tout mettre sur la table, mais c'est un tel bric à brac... c'est plus de la finance, c'est du vide-grenier.

http://www.boursorama.com/actualites/eu ... 7fe3c3dc2b

Johnny John

[Johnny John]

La Grèce n'a pas que des ruines à nous refourguer, elle a aussi du collatéral; grâce à elle l'euro va bientôt retrouver une parité avec le dollar des plus favorables à l'économie européenne. Encore quelques mois comme ça et ce sont les Etats-Unis qui vont financer les abysses financières grecques pour lutter contre l'intempestive remontée de leur monnaie.

http://www.boursorama.com/actualites/le ... 6618a9faf3

Johnny John

[zack]

F.H. était en année 5 = changement, croissance, …Autant de thèmes repris dans sa campagne avec un retentissement d’autant plus important qu’il vibrait à l’unisson de l’année 2012, également de valeur 5.
Mais, ce qui se fait en année 5 ne dure jamais. Adieu veaux vaches cochons,…
Les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent.
Il ne suffit pas d’invoquer la croissance, ô déesse suprême, pour qu’elle daigne vous honorer, à votre guise.
Tous les pays ayant rencontré des difficultés financières, et qui s’en sont sortis ont appliqué les mêmes règles, que notre nouveau gouvernement semble complètement négliger :

« Différents travaux académiques, pu¬bliés notamment par le National Bureau of Economie Research amé¬ricain, l'OCDE ou le think tank bri¬tannique Policy Exchange, tendent à prouver que la meilleure des solu¬tions, celle qui permets aux écono¬mies de rebondir - est bien la réduc¬tion des dépenses publiques.
Danger fiscal : La tentation d’augmenter les im¬pôts, notamment des plus riches, ne-paraît pas la bonne solu¬tion, même si cela permets de répar¬tir le poids des efforts. De fortes augmentations d’impôts risquent de faire plus de mal que de bien.
Il est à remarquer, au contraire, que les plus belles success stories des an¬nées 1990 viennent de pays qui ont réduit les impôts, afin d’attirer les investisseurs et les capitaux.
A l’instar du « tigre celtique », dont le taux d’imposition sur les entreprises, de seulement 12,5%, n’a pas été relevé depuis la crise.
Il ne serait pas davantage intelligent de relever la TVA, car celle-ci est injuste pour les plus pauvres. De plus, en touchant directe¬ment au portefeuille des ménages, on risque de fragiliser la timide re¬prise de la demande. C’est ce qui a fait replonger le Japon dans la crise en 1997. »
The Economist, London 2010.