par Johnny John » Lun 12 08 13 18:09
Bonsoir à tous.
Tout d'abord, je ne suis pas opposé à l'astrologie dite traditionnelle, mais celle-ci repose sur un corpus tellement vaste et contradictoire, qu'il faut faire des choix. Pour moi, l'astrologie la plus simple est la meilleure, d'abord parce qu'elle est belle et qu'ensuite elle parle vite. A son égard, tout, pour moi, doit se voir dans le ciel, et dans la simple relation de l'homme avec celui-ci; en conséquence les repères que l'astrologue doit prendre, hors ciel, ne m'intéressent que s'ils sont le plus simple et le plus évident possible. C'est d'ailleurs comme ça que procédait l'astrologie des origines, et elle me suffit largement.
Par ailleurs si l'astrologie traditionnelle appliquée à la mondiale m'apparaît très faible, elle a cependant un accent de modernité dont nous devrions peut-être nous inspirer. En effet cette astrologie n'hésitait pas à étudier les comètes, lorsque nous nous avons des réticences à regarder le moindre astéroïde. Il faudrait peut-être en prendre de la graine.
Ensuite l'astrologie mérite d'être développée, simplement parce qu'on se rend compte que tout ce qui a été dit de l'usage de ses techniques par le passé ne correspond pas nécessairement à la réalité. Pour nous, il est facile de s'en rendre compte par le simple truchement des aspects. Beaucoup veulent, par exemple, voir encore une hiérarchie des aspects, mais celle-ci est un leurre. Je renvoie à cet égard au 3 février 1637 point haut de l'hystérie haussière des cours des bulbes de tulipes en Hollande, où l'exactitude d'un simple dodectile Uranus/Neptune a fait plonger vertigineusement le marché des oignons, quand d'autres carrés et oppositions "meurtriers" ne produisent parfois qu'un friselis des cours.
Enfin s'il serait très enrichissant sans doute de pouvoir disposer d'un énorme calculateur pour étudier l'effet de toutes les combinaisons célestes possibles, je ne suis pas certain que le ciel procède simplement par résultante, car le ciel que nous observons possède de l'humain qui se dissimule bien derrière les nuages.
Et puisque qu'il m'apparaît du plus grand intérêt de rechercher la preuve par Quaoar, nous avons deux dates de proximité à mettre en portefeuille: le vendredi-lundi 16-19 août et le lundi-mardi 16-17 septembre. Chacun appréciera la puissance respective de l'une et de l'autre, bien sûr.
A propos du décile qui se reforme entre Uranus et Neptune, on peut douter qu'il produise de grands effets, car depuis 2009, on a pu voir combien Neptune avait été gratifié par le quinconce-trigone de Saturne, qui est en phase d'achèvement
Johnny John.
La gravité est le bonheur des imbéciles et la nécessité des religions. (Montesquieu et autre)