par Jean-Francois Richard » Mer 16 03 11 19:30
Je reproduis une analyse faite rapidement hier mardi 15 mars...
Des catastrophes impliquant le nucléaire civil ou militaire étaient prévues à cause de la montée en puissance d'un conflit entre Uranus et Pluton (carré de 90°). Actuellement, cette configuration détestable est "croissante" depuis 2006 environ, sera à maturité entre 2012 et 2016 et en phase "décroissante" de 2016 à 2020 environ.
Nous n'avions évidement pas prévu un drame lié au nucléaire actuellement... Et pour cause ! En revenant sur l'explosion de la centrale de Tchernobyl (29 avril 1986), nous avions bien un conflit entre Uranus et Pluton (demi-carré de 45°), mais celui-ci était "déjà " arrivé à maturité (janvier 1986 à fin 1987). D'autres incidents ou accidents nucléaires (milieu des années 1960 notamment) avaient également eu lieu avec des conflits planétaires impliquant Pluton mais "arrivés à maturité". Ce n'est pas le cas aujourd'hui, ce conflit ne faisant encore que "monter en puissance".
En quelque sorte, le drame japonais est donc en avance... Cela montre une nouvelle fois les limites de l'astrologie, qui ne peut toujours bien cerner le timing précis, même si la trame de fond permet de comprendre les événements quand ils se produisent, parfois en avance et parfois en retard. En l'occurrence, il y a avait une "marge d'erreur" d'une année entière, ce qui n'est pas rien.
Pour certains amateurs, précisons cependant le contexte actuel pour mieux le comprendre à présent. De mi-février à fin février, Jupiter est passé au carré de Pluton et au demi-carré de Sedna (nouvelle "planète"), Pluton formant lui-même un sesqui-carré à Sedna. De notre point de vue, Sedna est une "caisse de résonnance", aggravant par exemple la crise des subprime pendant l'été 2007 (au carré de l'axe de l'opposition Saturne-Neptune de l'époque).
Ces éléments ont formé une trame déjà négative mais pas déterminante, bien que l'on remarque le passage de la Lune sur Sedna une demi-journée avant le séisme. Ce séisme a eu lieu le vendredi 11 mars et Uranus a changé de signe en passant des Poissons dans celui du Bélier une demi-journée plus tard le samedi 12 mars peu après 00h00 GMT. Ce faisant son carré "croissant" à Pluton s'est retrouvé plus franc car allant du Bélier au Capricorne, deux signes qui sont également en carré négatif. Par ailleurs, Jupiter est juste devant Uranus en compagnie de Mercure. Les divers incidents de ces derniers jours ont vu ce trio agresser "dans leur masse globale" Pluton...
Aujourd'hui (15 mars NDLR), période la plus critique avec des fuites radioactives importantes, ce trio Uranus-Mercure-Jupiter (dans l'ordre) est précisément, en son point d'équilibre géométrique, au carré exact de Pluton (dans la soirée précisément). On voit bien, de notre point de vue en tout cas, que c'est donc sur le fond le grand carré Uranus-Pluton qui constitue la trame de fond du désastre nucléaire actuel.
Du moins, on peut à présent le comprendre, à défaut de l'avoir prévu... Manier Sedna, par exemple, est des plus délicat et difficile. Sa mauvaise position avait simplement été l'un des éléments nous rendant plus prudents fin janvier et ensuite à la mi-février. C'était au moins cela...
Quoiqu'il en soit et en prenant du recul par rapport à la tragédie que vit le Japon, ce grand conflit entre Uranus et Pluton (infiniment plus important que lors de Tchernobyl au seul point de vue planétaire) va avoir de grandes conséquences. La Suisse vient déjà de décider d'abandonner l'énergie nucléaire. Trop dangereux... Cela ne fait sans doute que constituer le point de départ d'un grand mouvement de remise en cause de la production d'électricité par la voie nucléaire. Economiquement (et boursièrement aussi), cela devrait avoir de profondes conséquences. Il est en tout cas probable que l'on soit à un tournant en la matière, ce que devrait probablement confirmer Uranus et Pluton quand leur conflit arrivera à maturité complète (2012-2016). Il est bien possible que l'on abandonne totalement la construction de centrales nucléaires et que l'on ferme progressivement celles qui existent...
Les informations sont disparates et contradictoires... Mais il semble que les centrales nucléaires japonaises étaient non seulement protégées contre les séismes mais aussi contre les tsunami, à condition que les vagues ne dépassent pas 10 mètres de hauteur. Mais elles ont atteint 14 mètres (record absolu), noyant donc les groupes électrogènes qui remplaçaient le réseau électrique déjà défaillant... Si ces informations sont exactes, qui ou quelles précautions peuvent effectivement garantir qu'il n'y ait pas d'autres incidents majeurs dans d'autres centrales de la planète ? Y compris en prenant en compte les risques supplémentaires que feraient courir des attentats terroristes ?
Il donc assez envisageable que tout le monde finisse par aboutir à la conclusion que les dangers du nucléaire sont trop importants pour être encourus. En France, par exemple, il y a 58 réacteurs. Il suffirait qu'un seul d'entre eux explose pour que, potentiellement, le pays tout entier soit rayé de la carte à cause de la radioactivité. Et sans compter les dégâts causés également aux voisins de l'hexagone... Désormais, qui va vouloir prendre un tel risque ?
Les années à venir vont donc remettre en question le nucléaire civil, cela nous paraît quasiment acquis car c'est dans la logique du conflit Uranus-Pluton. Les conséquences économiques vont en être impressionnantes. La caricature de celles-ci, ce sera notamment la France : 80% d'énergie d'origine nucléaire... Et un coût de revient environ 40% moins cher que pour la production électrique à partir de centrales à charbon, au fuel ou au gaz. Et même 8 fois moins cher que l'énergie produite par les éoliennes ou les panneaux solaires !
On imagine facilement que l'abandon du nucléaire ferait grimper la facture des entreprises et des particuliers jusqu'à des sommets ! Sans compter que cela devrait davantage pousser à la hausse les prix du pétrole et du gaz ! On peut donc se demander dans quelle mesure il ne s'agira pas d'un bouleversement économique assez substantiel, qui devrait de surcroît peser sur la croissance économique...
Pour conclure, soulignons simplement que le conflit entre Uranus et Pluton est toujours "croissant" et qu'il n'arrivera à maturité qu'à partir de l'an prochain. Cela implique à coup sûr d'autres incidents, accidents ou drames d'origine nucléaire. Civils assez probablement mais aussi militaires, car Uranus et Pluton, au négatif, sont l'un des facteurs de guerres les plus sérieux. Des conflits armés impliquant notamment le nucléaire apparaissent ainsi assez probables, y compris en tenant compte des risques de "bombes sales" lancées par des mouvements terroristes.
Avec la catastrophe japonaise, nous voici déjà entrés dans une nouvelle phase que nous n'envisagions pas avant 2012 ou même 2013. Elle est déjà active, au moins pour son premier coup d'éclat.
Le 15 mars 2011