Bonjour à tous.
Au bac il y a une épreuve de philo, d'après ce que rapportent les usagers. Des questions sont posées, des questions destinées à déboussoler le rédacteur de copie. Les plus avisés pensent qu'elles on un sens ces questions, mais ce sont les plus avisés bien sûr. D'autres s'interrogent sur la raison fondamentale de ces questions, leur origine, les médicaments qui vont avec.
Ainsi dans le sac cette année, il y aurait des surprises comme : Est-il toujours injuste de désobéir à la loi ? Savoir, est-ce ne rien croire ? La technique nous libère-t-elle de la nature ? Apparemment il n'en manque qu'une, que vaut aux examinés ces curiosités d'examinateurs ? Ces derniers trouvent le temps long, ils veulent s'occuper ?
Dans la première question c'est tout de même bizarre de vouloir opposer une organisation sociale à un devoir moral, les lois pourraient à ce point être le fait d'étrangers à la société, comme par exemple des élites schizophrènes en régime monarquo-républicain ?
Mais passons à la suivante. Savoir, est-ce ne rien croire ? Voilà bien une question pour bigleux. Si tu sais, tu sais, sinon tu peux croire. Il est vrai que certains croient qu'ils savent et ne savent pas ce qu'ils croient. Les examinateurs se foutent de la gueule du monde, hein ?
Et cette interrogation, mais d'où nous vient-elle ? elle n'est pas curieuse ? La technique nous libère-t-elle de la nature ? Pour pondre, il faut reconnaître, son apport est modeste. Ils sont au courant au moins les examinateurs ? Ils sont au courant ?
La philo, la philo... c'est vraiment un truc pour se marrer, c'est de la blague.
https://www.lamontagne.fr/clermont-ferr ... _13969256/Johnny John
La gravité est le bonheur des imbéciles et la nécessité des religions. (Montesquieu et autre)