par Jean-Francois Richard » Ven 05 02 10 01:09
Il me semble intéressant de reprendre les mouvements récents... Jraf, excuse-moi, mais à mon sens ni quaoar ni le noeud nord n'expliquent quoique ce soit d'important. Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ?
Voilà mon point de vue : on avait un carré saturne-pluton depuis mi-novembre, se rajoutant à une opposition saturne-uranus. Le seul carré saturne-pluton, parfaitement exact de mi-novembre au 31 janvier, impliquait "normalement" un mouvement de baisse significatif. Selon les historiques et mon expérience personnelle, la baisse pouvait avoir un potentiel compris entre -10/-15% minimum et -20% maximum.
Mais on a le demi-sextile uranus-neptune qui, bien que cet hiver dans une situation de "demi-sommeil" car uranus se retrouve "avant" sa formation jusqu'en avril, demeure cependant extrêmement serré à environ 1 seul degré d'orbe. C'est un soutien de fond...
On a commencé la baisse en janvier quand saturne est devenu rétrograde, ce qui revient à dire que, si rien ne s'est passé avant (dubai et la grèce quand même, bien que les indices n'aient pas fléchi), on se retrouve dans une situation d'inversion de tendance parce que vient en pleine lumière ce qui était auparavant occulté. A présent, on sait vraiment sur quoi on a baissé, les déficits instoutenables provoqués par un endettement exagéré à cause de la crise et qui prend souvent sa source dans des politiques budgétaires laxistes et électoralistes antérieures.
L'ascension droite de mercure vers le 15 janvier, alors que la baisse avait déjà commencé lentement, est venue mettre le feu aux poudres. Mercure était conjoint pluton et carré saturne. A suivi un mini-krach de près de -1O% jusqu'au rebond de la fin janvier.
Ce rebond notable était prévisible (pas au jour près pour autant, je me suis personnellement un peu égaré sur le très court terme), car uranus formait en données héliocentriques (considérées depuis le soleil et non de la terre) son seul et unique demi-sextile à uranus. A l'évidence, il s'agissait d'un élément important car "unique" et, même sil'on n'est pas sur le soleil, cela constituait un élément d'apaisement pour l'ensemble du système solaire.
Normalement, un tel aspect provoque de la hausse sur les marchés pendant une semaine au moins et pour un potentiel non inférieur à 5%. La hausse a duré un peu moins longtemps et pour un peu moins de 5%... Cela était également envisageable puisque l'aspect exact a eu lieu le 27 janvier mais que le 31 saturne repassait en rétrogradation au carré de pluton et que mars était au sesqui-carré d'uranus. Avec 24/48 heures de décalage, on a donc eu le rebond, puis la rechute tout à fait logique, aidée d'ailleurs par vénus (demi-carré saturne et sesqui-carré pluton) le mardi 2 février et mercredi 3 au soir. La baisssse a été aujourd'hui d'autant plus violente qu'il fallait bien que le carré saturne-pluton continue de s'exprimer tellement il a accumulé de puissance négative depuis plus de 2 mois,mais empêché provisoirement de continuer sur sa lancée par uranus-neptune en hélio.
Seule inconnue sur ce plan, toujours sur le très court terme : pourquoi a-t-on baissé si fortement ce jeudi 4 février et non le mardi 2 et/ou le mercredi 3 qui paraissaient plus concernés directement ? C'est peut-être là que des éléments avec les noeuds peuvent intervenir... Mais c'est un détail.
A présent, on entre dans une nouvelle situation astrologique avec, ce vendredi février un jupiter positif à saturne puis à pluton pendant le week-end. Sera-ce suffisant pour apaiser le conflit toujours aigü saturne-pluton ? On le verra au cours des prochaines séances...