Bonjour à tous.
Paris a connu la tourmente de la haine des adeptes de la secte des 72 vagins. Heureusement nous avons, pour accompagner ces moments difficiles, un ministère des condoléances, admirablement dirigé par Cazeneuve, un ministère du bracelet lumineux pour multirécidivistes, conduit par Taubira à qui on ne la fait pas, et une présidence des cérémonies funéraires qu'Hollande tient d'un visage sanglé de dignité marbrifique. C'est admirable.
C'est la guerre nous dit Valls. Voilà au moins une bonne nouvelle, il est au courant; ça a pris du temps, mais il est au courant. La guerre, ça signifie au moins la désignation d'un ennemi, des alliés de celui-ci, et des traîtres à la patrie, car malheureusement il y en a toujours. Et ça suppose également un traitement ad hoc, un traitement de guerre et non pas de simple police.
Ainsi des questions se posent, maladroites sûrement, mais se posent quand même. La colonne vertébrale idéologique de l'EI, c'est le salafisme. Doit-on continuer à autoriser le salafisme en France ? Et jusqu'à quel sang ? Doit-on tolérer des agents de l'ennemi venir, dans nos rangs, tenter d'enrôler à l'action du crime ceux qu'ils veulent tourner vers la traitrise à la nation française ? Et si oui, jusque quand ? Et dans quel but ?
Comment doivent s'orienter nos rapports avec l'Arabie Saoudite et le Qatar, tellement soupçonnées de financer la mouvance du crime islamique ? Le financement des mosquées, doit-il continuer d'être porté en France par ces pays ? Et si oui, pourquoi et pour le profit de qui ?
Enfin, comme il y a plein de questions, il y aura peut-être une ou deux réponses, ce qui sera déjà beaucoup dans les temps où nous vivons.
http://www.boursorama.com/actualites/ca ... 30bdac749eJohnny John
La gravité est le bonheur des imbéciles et la nécessité des religions. (Montesquieu et autre)