Bonjour à tous.
Ce que le labeur d'un homme politique peut être épuisant, presqu'autant que celui d'une femme de la même trempe. Aussi l'entraide collective est importante, il faut aider nos "représentants" à voir au plus vite ce qu'il leur prendrait, sans l'aide de la masse, au moins deux cent cinquante ans après le bac pour commencer à envisager le début de la réalité d'un phénomène que seuls Dédé le carreleur et Jojo le plombard sont en mesure d'appréhender à la vitesse de l'éclair.
Valls, grâce au puissant courant de pensée qui l'entoure, vient d'avoir, semble-t-il, une révélation. Il vient d'affirmer que le voile n'est pas un objet de mode mais un asservissement de la femme. C'est un scoop. Tout le monde le sait, mais lui, tellement occupé... Bon maintenant il a l'air de l'avoir réalisé, bien que pour le soumisier de la touffe, le cache-crin pseudo-musulman, il ne se lance pas encore dans une appréciation qui devra, avant de pouvoir être dite avec toute la hauteur qui sied à sa fonction, s'entourer du concours préalable d'une commission d'enquête, elle-même puissamment guidée du patient travail d'un observatoire de l'aliénation par le truchement des signes humiliants, des tenues de la honte de soi, du clivage social par la fringue pseudo-religieuse.
Comme il est nécessaire d'aider tout ce beau monde du pensum, il n'est que d'évoquer cette remarque entendue chez Jeannot le bougnat, à propos du foulard pseudo-islamique : "T'as déjà vu dans la rue un gonze porter ce genre de nappe sur la gueule ? Pendant qu'ils déguisent leurs gonzesses en mémères, eux ils se baguenaudent sapés à l'occidentale. Putain! elles chient pas la honte leurs gonzesses d'avoir aussi peu d'exigence du réciproque à leur égard!"
C'est la contribution de Jeannot à l'effort de pensée du gouvernement de la France.
Mais il n'y a pas qu'au gouvernement où l'effort de pensée est intense, à la mairie de Paris aussi le cyclotron, lancé depuis plusieurs mois, commence à donner quelques signes de vie. Hidalgo, encore sous l'effet des vapeurs envoûtantes du salafisme dominant dans son Solferino natal, continue de voir, dans l'un ou l'autre des soumisiers pseudo-musulmans, du signe religieux, mais il faut le noter à son encontre, sans jamais en exiger la preuve. On croit si facilement dans le politique, c'en est tout le charme d'ailleurs.
Les enseignes commerciales de sapes orientales à l'ancienne, qui pour faire suite aux dévotions politiques du multiculturalisme béat, veulent commercialiser ces instruments du sexisme radical, s'étonnent qu'on ne puisse pas suivre dans le commerce la voie si bien tracée par le politique avec ses amuseries du "tout se vaut, tout est égal... surtout quand ça touche les autres".
Le commerce c'est le commerce, certains vendent des armes, d'autres des chaînes ou des fouets, c'est le commerce; ces enseignes veulent vendre des soutiens à l'apologie du sexisme, c'est le commerce. Sexisme, racisme, avers, revers, même médaille. Peut-être un jour prochain dans ces boutiques des fringues du KKK, ou des ceinturons "Gott Mit Uns" ? Le commerce.
Le commerce se fait au moins à deux. Bye bye !
http://www.lefigaro.fr/politique/le-sca ... france.phphttp://www.rtl.fr/actu/politique/mode-i ... 7782684076Johnny John
La gravité est le bonheur des imbéciles et la nécessité des religions. (Montesquieu et autre)