par Jean-Francois Richard » Mer 16 03 11 19:26
Sur ce que vient de dire sivadon, je crois que c'est parce que nous ne maîtrisons pas encore assez les relations entre planètes. On a les angles "classiques", mais on ne tient pas compte ou mal (ce sont de longs calculs...) de ce que j'appelle les "points d'équilibre" géométriques entre plusieurs planètes et les mi-points dans une relation entre deux planètes (même lorsqu'elles ne forment pas d'aspects à peu près exacts).
Cependant, on peut au moins comprendre et se remettre rapidement dans le bain... La catastrophe, c'est le carré uranus-pluton. Ce qui était difficile à envisager, c'est qu'il réagit une première fois de façon spectaculaire un an avant d'être "installé". C'est rare...
Mais si l'on prend en compte le carré saturne-pluton et son mi-point, le carré jupiter-pluton de fin février, le sesqui-carré sedna-pluton et le demi-carré sedna-jupiter, sans oublier l'opposition saturne-uranus et son mi-point, sans oublier non plus l'amas uranus-mercure-jupiter et son "point d'équilibre", en tenant aussi compte de la lune noire et du passage d'uranus en bélier (carré plus direct à pluton que lorsqu'il était en poissons), bref, j'en oublie encore...
Mais en résumé, on avait une situation franchement hideuse au plan des configurations car toutes celles qui sont négatives sont reliées les unes aux autres !
Certes, c'est un cas de figure rarissime... Donc, personne ne l'avait vu se former, tout juste certaines indications partielles avaient été mises en avant comme sources d'interrogations. Au moins peut-on comprendre aujourd'hui comment a fonctionné la mécanique astrale. Ce n'est sûrement pas tout à fait satisfaisant, mais c'est au moins cela. Quant aux marchés spécifiquement, même sans avoir tout prévu correctement et surtout l'ampleur du problème à l'avance, énormément d'éléments plaidaient en faveur de la prudence dés la fin janvier, puis surtout après le 15 février. C'était déjà ça et cela a beaucoup aidé...